Boucle des milieux naturels

Les 9 patrimoines à découvrir

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  Rivières et zones humides

  Les étangs des Prés Neufs

  Vous voici près de l’un des 55 plans d’eau dénombrés dans le marais.
  
  Ces étangs ont été créés en 2001. A l’opposé des étangs de la Vaivre, ils sont de très bonne configuration : linéaire important de rives et berges en pente douce. L’entretien des abords est assuré par pâturage extensif avec des chevaux Konik polski.

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  Faune et flore

  Les animaux de la mare

  Hors période hivernale, des coassements se font entendre... Allons voir de plus près ce qui se passe dans cette mare.
  Ces milieux sont indispensables à la vie des amphibiens qui les utilisent comme zone de reproduction. D’ailleurs, l’origine grecque de ce mot signifie « double vie » : vie aquatique à l’état de larve, vie aérienne à l’état adulte.

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  Histoire

  La glacière

  Le vestige d’un mur d’enceinte et un vieux portail en fer forgé témoignent d’une activité passée.
  Ce vestige d’ancienne construction pourrait correspondre à l’entrée d’une ancienne tuilerie qui est mentionnée sur la carte de Cassini. Ce site est aujourd’hui appelé la glacière puisqu’en hiver des pains de glace du plan d’eau voisin étaient prélevés puis stockés afin d’alimenter les hôpitaux et les brasseries de Besançon. Cette activité était largement pratiquée aux XIXe et XXe siècles dans le marais.

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  Pastoralisme et agriculture

  La Couvre

  Vous arrivez au hameau de la Couvre sur la commune de Morre. Un comité d’accueil vous attend : montbéliardes, comtois, oies...
  À l’heure actuelle, une seule ferme est encore en activité, deux autres ayant récemment perdu leur fonction agricole. Aujourd’hui, l’utilisation agricole de la partie centrale du marais est très faible. Seuls environ 15 % de la superficie, au centre et sur le pourtour, sont encore sujets à une exploitation agricole de type polyculture-élevage.

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  Faune et flore

  Les roselières

  Après le hameau, sur votre droite, derrière les saules, des hautes herbes et des petits plumets sont visibles en contrebas : une roselière se dresse. Une roselière ou phragmitaie qualifie une formation végétale de grandes hélophytes (du grec hélos : marais et phyton : plante) telles que le roseau, la massette. Dans le marais, cette végétation couvre 11 hectares et se distingue pour son intérêt paysager, par sa puissante fonction épuratrice et par son intérêt majeur pour certaines espèces d’oiseaux et d’insectes.

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  Faune et flore

  La pelouse calcaire de Montfaucon

  À vos pieds, une prairie calcaire sèche et en contrebas, la zone humide. Ce coteau calcaire abrite de nombreuses orchidées et tout un cortège de fleurs, signe d’une diversité intéressante. Profitez de cet instant pour vous installer sur le banc et contempler le paysage.

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  Faune et flore

  Les continuités écologiques

  Vous avez pu constater au bord du chemin des bornes blanches. La création de voies de circulation et de zones bâties, l’intensification de la gestion des milieux, sont parmi les causes majeures de fractionnement des espaces vitaux des espèces. Or, pour se maintenir et se développer, tous les êtres vivants ont besoin de pouvoir échanger et donc de circuler autour d’aires vitales et de corridors identifiés sous le nom de continuités écologiques.

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  Faune et flore

  La Verne

  Vous êtes au lieu-dit La Verne (nom local de l’aulne). Cette aulnaie marécageuse possède un intérêt majeur car elle est assez rare en Franche-Comté.

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  Rivières et zones humides

  Les Grands Terreaux

  Le chemin des Grands Terreaux surplombe le ruisseau du même nom, 3 mètres plus bas. À droite, sous les chênes, un petit creusement dans le terrain laisse apparaître d’anciens méandres. Leur disparition a entraîné une perturbation des écoulements et un appauvrissement de la biodiversité.